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Assis sur la plage ...

16 août 2013

To hide or not to hide

Rentrant au Boukistan, je passe un coup de fil à mon pote Alexander Van Humboldt spécialiste des masques à gaz aphrodisiaque. Je réclame son sentiment par rapport aux derniers événements. Mon pouce se retrouvant sans bout d’ongle à ronger, mon esprit se retrouve en échec. Assis sur le trône du patron, je lui narre nos dernières aventures et lui fait part de mon désarrois à ne pas trouver de lien entre ces cadavres. Je lui demande d’analyser les deux masques que je m’empresse séance tenante d’expédier par drone coursier. Le drôle d’oiseau ayant à peine franchit la porte que mon apôtre des voix respiratoires non-libre m’interrompt dans ma réflexion. Me levant de son fauteuil je regagne mes appartements sans broncher. Phelps m’interpelle et m’ordonne de rapatrier tous les cadavres incriminés. La tâche s’annonçant difficile. Le nombre de macchabé s’élevant désormais à plus de 4000 morts. Çà ne va pas être de la tarte. Transférer autant de Dakarmen sans que la presse s’en aperçoive nécessite une certaine difficulté. Et croyez-en mon expérience la faculté qu’on les journalistes à pister le scoop morbide se révèle aussi facile que de chasser des photos du clone de Justin Bieber dans son bunker. Joué la mélodie en sous-sol çà dure jamais longtemps. La première chose à faire en pareil cas est de déguiser les invités en parfait employé de rayon et de racheter le supermarché au dessus de notre garçonnière (ce qui feront le rapprochement avec une série sont prier d’aller s’occuper de leur Sarah plutôt que de lire se bouquin). Bon ce n’est pas tout çà mais mes yeux, aussi beau que mémé, se ferme et Morphée m’attends patiemment depuis 48 heures. Je surprends Maria, Julia et Hélène en petite tenu se bagarrant dans ma chambre. Je choisi d’aller faire un gros dodo sur la terrasse emménagé sur le toit de mon bungalow. J’y retrouve mes petits canards afférés à filmer le spectacle qui se joue prêt de mon plumard. Pressant le bouton de la trappe d’accès, mes canetons ne manquent pas de tomber sur mon matelas brisant le sommier se prenant au passage une plumée de la part de mes charmantes collaboratrices. Rien de bien méchant me direz-vous si ce n’est que Julia me fait encore des reproches. Je décide de rester sur mon toit. Je passe une bonne nuit seulement réveiller tour à tour par le frôlement de la couverture et les pieds glacés du trio féminin l’une après l’autre. Requinquer je profite d’une matinée calme pour organiser le rapatriement de notre collection de cadavre dans notre espace. Recruter un(e) attaché(e) de presse, des gros bras supplémentaires, des bébés canards, racheter quelques camions de scalpel pour mes maladroits et surtout des biscottes. Et surtout loué les deux niveaux de sous-sol afin de tripler nos capacités en vue de notre réception.

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15 août 2013

L'appartement parfait du Geek.

C'est avec un gloussement digne d'un ewok que mes trois lascars de laboratoire m'houspillent pour que j'ouvre cette satané trappe que l'OMS à soigneusement cacheté non sans avoir soudé le pourtour. Mark est déjà en train d'analyser le contenu des multiples ordinateurs que nous avons à découvrir d'ici peu s'étant branché sur la fibre optique loger prêt de cette « #?;% » de trappe. Cette dernière nous poussa un cri d'orgasme à l'ouverture ce qui fit rire Baptiste. Laissant filer les neveux de notre cher Picsou, je me pris d'interroger Mark pour connaître l'origine de cette mou qui enserra son visage (ouah ! Qu'est que je parle bien).

- Pas de cache, pas même un petit Phishing, pas de cookies, rien dans les mémoires tampons. Kleenex de chez Kleenex. (Je sais. Elle est un peu facile)

- Du terrorisme informatique quoi...

- Arrête de plaisanter ce mec et obséder par la propreté de ses terabytes. Une comptabilité sans faille. Toujours le même budget pour ces fringues. Les mêmes sites de vente en ligne. Une régularité dans le rachat des cartouches de masque à gaz.

- Rien de bien inquiétant un parfait gentleman.

-  …

Nous fûmes interrompue dans cette effroyable découverte par Jean qui sans une certaine souplesse nous rejoigna.

- Venez voir !!!

Etonnamment pas un grain de poussière. Des DVD rangés par date d'achat et surtout par genre en respectant l'ordre des séries pour le space opéra. Exercice périlleux et laissant bouche bée François devant une telle sagesse. L'interrogeant sur ces premières déductions cette chèvre me fit part de son analyse.

- Beh ! Super organiser notre sieur Muel San la moindre petite cuillère et classer ordonner et ranger au millimètre dans le tiroir, ses ordis sont...

- Par contre çà s'est pas ranger où il faut. Objecta Baptiste.

Sortant un DVD de la petite maison dans la prairie un compartiment caché derrière une affiche serbe de la guerre des étoiles très rares se révéla accompagner par la musique de « 2001 l'odyssée de l'espace ». En gros un jolie serveur autour duquel la haie d'honneur se forma pour laisser notre maestro nous jouer sa douce symphonie du clavier.

- A les voilà mes rapport d'erreur mes mises à jours merdeuses et mes...

- Plait-il?

- Notre monsieur était tellement obséder par la blancheur immaculée de sa vie qu'il sait mis en tête d’effectuer des recherches sur les échecs intervenues dans l'élaboration des masques à gaz et a été interrompue dans son travail visiblement.

- Et visiblement comment vois-tu çà.

- Regarde. Me pointant du doigt une source de dossier récent concernant la fourrure des autochtones sur Kepler-69c.

- Je ne vois pas le rapport !

- Si regarde

- Putain t'es mirror ou quoi ?

- Aurait-il changé de sujet au dernier moment ?

- C'est ce qu'il a voulu nous faire croire. Il y a des pixels bizarres dans les images. Il a caché ses recherches dans le merdier du web.

- Et surtout dans de la pornographie...

- Montre ! Montre ! S'époummona Baptiste.

C'est à ce moment là que  mon doute se dissipa.

Mais au faite il est où ce masque

15 août 2013

Mélodie en sous-sol

Comment notre pauvre Paul s'était-il retrouver dans cette situation ? Quelle saloperie se trouver cacher dans sa cabine au dessus des anneaux de Saturne. Combien de fois faisait-il l'amour à sa compagne quand il rentrer chaque week-end depuis bientôt deux ans ? Qu'est qui l'avait poussé à ramasser des cailloux aux confins de la géante gazeuse ? Une complainte résonnée dans notre tanière. Accompagnant dans une parfaite cadence l'analyse de la boîte où s'enfermer tous les jours notre Dakarmen comme l'avait suggérer Igor. Dans un balai ininterrompue de spectromètre et autres rayon X, Y et Z. Chacun regorgeant d'idée pour déceler la moindre trace de Virus dont on avait oublié la méthode de recherche quitte à utiliser un soutien-gorge comme filtre à particule. Idée douteuse de Baptiste ayant conduit à un échec. Bref après mainte s recherche, rien. Mise à part les quatre reprises qu'accorder Paul à sa moitié lorsqu'il rentrait le week-end. Info obtenue par un coup de fil de François à la dite moitié avec une aisance qui frôle l'admiration. Tous ce que l'on pouvait dire c'est qu’après avoir pris un travail de manager en ressource alien, il se trouva accroché dans l'espace dans sa boîte à chapeau pour avoir recruter un humain. Son père l'ayant formé très tôt à la différentiation d'une variété de minéraux incalculable, notre homme se retrouva piéger dans son outil de travail pour le reste de ces jours. C'est le cas de le dire. En tous cas pas plus de réponse comme sur l'arrêt de la série Battlestar gallactica dans un énième rebooth. Grishka ayant effectué de nouvelle analyse sur le corps de Dakarmen. Rien de nouveau à l'horizon mais un doute massaïa (faut bien essayer les jeux de mots si on veut égaler le Dard). Que pouvez donc manquer dans l'équation et qu'est-ce qui rongea mes pousses à un moment où tous attendait mon idée de génie. Avant toutes choses il fallait trouver un autre homme des sables pour faire plaisir à mon Doctor Ki. C'est prêt de Titan que nous avons trouvé Samuel. Samuel avait 18 ans et travaillé comme pizaïollo/livreur de pizza (pratique la pizza sort du four accroché à sa meule) à proximité du chantier du futur métro relayant les deux pôles de cette lune. Je suis allé le chercher dans la journée dans sa garçonnière aménagée consciencieusement au bas d'un escalier caché dans le frigo d'un glacier. Autrement dit quasi introuvable. Comme si ce monsieur mené une double vie ne faisant pas que livrer des pizzas au premier nerd du coin (nous y reviendrons plus tard). Rien de bien inquiétant me direz-vous. Donc nouvelle boucherie de nos frères experts en masturbation des planètes et analyse croisée de l'oeuvre de Werber et Bradbury (entre deux séances de fitness). Enfin les meilleurs clients des fabricants de bistouris. Pas mieux que notre ami Paul, un beau gâchis et pas beaucoup de réponse mais toujours cette impression bizarre d'avoir oublié quelques choses. Nous décidons de rendre une petite visite au refuge de Samuel histoire de diminuer sensiblement l'impatiente qui se lit dans le visage de mes trois boys scouts. Mark n'ayant pour l'instant eu l'occasion d'avoir exercer ces talents dans cette affaire nous accompagne.

15 août 2013

Saturne

Mon bongo finalise son approche au niveau de la grue dans le secteur de forage numéro Lincoln 6-Echo. J'enfile ma combinaison déniché sur E-bay.: Celle d'Amstrong. Le coureur cycliste ayant couru sur le premier tour de lune. Ma radio wifi (et oui même dans l'espace) m'informe : « Aujourd'hui 10 Mai 2167, nous assistons à une vaste pandémie. Déjà 40 cas répertorier de ce que nous appellerons le bon baiser de saturne.». A ces journalistes toujours à rajouter des qualificatifs pour tenir un journal de 15 minutes dont chacun sait que l'on regardera juste les trois dernières minutes où un sabotier s'attristera de réaliser son dernier sabot en frêne d'Irlande. Et se fameux titre « bon baiser de saturne », jolie trouvaille. On voit notre pauvre Paul se frayer un chemin à l'aéroport de Lyon Saint Exupéry pour embrasser sa copine. Pris avec une certaine dextérité à l’aide d’une caméra de surveillance pilotée un vigile ressemblant à James Cameron se targuant d'avoir de suite reconnu la victime. Je me cale sur le bureau de notre regretter Paul et je m'empresse de détacher le petit univers de ce dernier. Après avoir pris soin de ranger soigneusement la cabine, ce qui deviendra une pièce de musée, je m'accorde un détour vers la station Jordan 2 Delta de Saturne où je m'installe au Nerd café. Tenus par des geeks indien et écolos tous le mobilier et en ordinateur recycler. Malgré cela je m'écorche la fesse gauche sur un condensateur qui dépasser de mon trône. On doit reconnaître que les Indiens s'en sont bien sortie. Après avoir fait office de poubelle du monde ils ont su rebondir en réutilisant nos achats compulsifs en véritable savoir vivre. Réutilisant les pièces d'électroménager pour faire du mobilier et en retraitant tout les composés chimiques disgracieux grâce à toutes les ressources biologiques capablent de transformer la merde en or.

Qui aurait pu dire que le chanvre mâle pouvait faire office d'annihilateur de pesticide Certaines espaces animales ou végétales ayant la propriété de dissoudre telle tétratruc ou phormomachin. A force de patience votre détachant revient dans çà bouteille sans en racheter. A faire pâlir Lavoisier (qui d’ailleurs vient d’être cloné avec succès). Un homme s'assoit devant moi sans y avoir été invité.

- Salut maucheté!

Arthur Aston contremaître de son état à fait des études de génie de la débrouille et il est passé maître dans l'art de dézinguer les astéroïdes récalcitrants. Je m'empresse de lui offrir respectueusement mon point dans la figure. Il me répond du tac au tac enfin plutôt du pif et paf. Les présentations étant faites je finis de l'achever avec ma phrase choc. - Salut poivrot !

Arthur est le Saint Graal du secteur Lincoln 6 écho. Véritable bible ambulante en cailloux en tous genres il connaît son équipe comme la différentiation des différents marbres de Phaeton 4. - Un bon petit ce Paul ! Dommage par contre pour sa Céline, il a trop bien été formé à l'école du Kama Sutra.

- As-tu constaté quelques choses d'inhabituelle !

- Non, rien de rien ! Il me gueulait encore dessus au moment de son malaise ! Il défait toujours son masque dans cette situation. Çà me fait toujours marrer de voir sa peau marquer par les bords de son OXAD 9.

Après un vaste (pour reprendre le Pujadas qui m'a crier sa vaste épidémie dans les oreilles – c'est déjà une épidémie patate) débat sur les différentes façons d'aborder la paternité avec sa maîtresse, je me retire vers le Boukistan. Sans avoir tendue le bout au moins une fois avant de rentrer.

15 août 2013

Le vif du sujet (ou tranché dans le vif)

Perdu dans la contemplation du grain de beauté du tibia gauche de Mlle Hélène, mon cervelet est réveillé par un geste désapprobateur de Maria dévisagé par Julia. Je pourrais enchaîner par Julia dévisagé également par Baptiste qui se targue d'avoir rapporter comme trophée un string de cette dernière dans la tanière de Riri, Fifi et Loulou. Maria m'incite à me rendre dans la caverne de mon super héros masqué de patron qui a pris soins de rapporter de son bureau les monticules de dossiers exactement à leur place. C'est à un moment juste avant les hostilités que je peux vous décrire cher lecteur le maestro des cartouches filtrantes. Sean Connery en pantalon de soie porté depuis le début du mois. T-shirt ventant les mérites du dernier magasin de bricolage du coin et curieusement une blouse médical flambant neuve sur mesure. Juste ce qui faut de muscle comme Edward Norton dans Fight club et une trace récente de masque sur le visage. Un stylo plume dans chaque main, il joue de son côté ambidextre avec une virtuosité sans égale ayant déclaré un jour un stylo c'est bien mais avec deux c'est mieux. S'avançant à ces côtés au milieu du vaste loft chaque membre de l'équipe nous nous rejoignons dans une procession pour faire le tour du local. Deux terrains de foot réunissant dans le quart Nord-Ouest les appartements de chacun avec terrasses privatives agencé pour que chacun ne puisse se voir. On distingue les étendards du sénat galactique et une statue de Georges Lucas allongé comme un buddha. Le local sanitaire a été réaménagé pour recevoir Jacuzzi et Sauna. Dans le quart Nord-Est un espace sociale a été installé avec une cuisine et un coin détente. Les restes du vaisseau cartonné d'Han Solo trônent au milieu d'une table. Au Sud-Ouest le laboratoire avec local hermétique ou repose tranquillement quelques gentils Virus comme la peste jaune et la gastro de François Hollande. Et pour finir dans le dernier carré véhicules et nécessaires en tous genres comme huskies pour la neige et rodweiler pour faire face à toutes éventualités au milieu de cordage et foreuse de classe 4. Le premier cadavre d'une longue série fait son entrée et attends avec impatience son rendez-vous en salle d'autopsie entourer des jumeaux s'époumonant. Résumons : Un individu de sexe masculin travaillant dans l'industrie minière de la ceinture d'astéroïde de Saturne se sent mal en conduisant sa grue. Arriver à l'hôpital américain de Neuilly il succombe après 48 heures de souffrance. Son anatomie s'étant transformée en homme de pierre dont le crâne aurait été écrasé dans un étau. Sa peau couleur argile s'étant crevassée comme la piste du Dakar. C'est aux frères que revient l'honneur d'autopsier le sieur Paul Simon (prononcer saïmon).

C'est Igor qui ouvre le bal (où le cadavre si vous préférez):

- T'aurais quand même pu m'inviter à la remise de diplôme ?

- Parce que tu crois que tu le mérite. T'a fini ton mémoire en à peine 4 heures.

- Ce n’est pas parce que t'a fini le tiens avec une demi-heure de moins que tu vas me les brisés. Passe moi la scie et éponge moi ce merdier !

- Y'a pas à dire t'es vraiment une merde et t'as qu'a bosser correctement il y'aurait moins à éponger.

 

Sur ces entre fait le docteur fait son entré dans la scène de crime et ne peut que constater le gâchis.

- Toujours aussi soigner à ce que je vois.

- …

- …

- Bon qu'avez-vous ?

- Saloperie méthodique çà attaque les organnes lymphoïdes primaire en premier puis les secondaires dans la foulée.

- Puis tous ce qui reste à l'intérieur.

- Les couches de la peau dansent le tango.

- Et pour parfaire le tout, les muscle faciaux crâniens se dilate dans une parfaite harmonie pour former un jolie carré. Finalise Igor

- Euh non çà c'est un coup de porte de l'ambulance le squelette devenant souple on peut presque lui donner la forme que l'on veut. - achève le docteur.

En gros un virus qui transforme vos organes et votre squelette en vulgaire éponge et votre derme en terrain de chasse pour Sébastien Loeb.

- Mon cher Romuald, il va nous falloir la cabine de la grue.

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15 août 2013

Boukistan

Petit état de 40000 habitants d'un quart de la France en superficie, le Boukistan se distingue par un Islam écolo. Si tu brûle des feuilles mortes le Dimanche matin attend toi à te faire couper une main. Capital : Birouth. Çà n'a rien à voir avec Springfield et Flanders et l'Imam du coin. En bref comme tous les pays du moyen-orient avec quelques restent d'une invasion russe. Si le charme russe rime avec AK47 bien sur.

6ème sous-sol du dernier centre commercial Sin City Mall soir du 8 Mai 2167, de retour de Baltimore je peaufine les derniers achats des courses de Monsieur.

Trouveur professionnel c'est un état d'esprit. Une parfaite connaissance des sites de vente par correspondance. Une barrière émotionnelle devant les artifices dont les magasins jouent avec une certaine délectation à vous faire acheter votre télé 4D. Un goût prononcer pour le dress code du parfait Indiana Jones. Une maîtrise parfaite du marchandage à la Marocaine. En bref vous cherchez un cadeau pour votre dulcinée, vous souhaitez remeubler votre grotte secondaire au fin fond de la Corrèze où carrément vous retrouvez dans une maison bâti en 7 jours et complètement meublé ne cherchez plus faite appel à un trouveur professionnel. D'un simple regard et après des recherches accrues, appuyer notamment par de précieux contact, il sait déjà que pour votre machine à café devra être rose avec des stickers d'un chat facétieux.

Tout commence par une simple table de camping perdu dans un immense entrepôt de stockage vide avec un local sanitaire mixte. J'ouvre mon portable et joue ma symphonie. Chacun peut s'approprier sa propre musique. Soit Janáček, soit John Williams ou Marion Cotillard. Une araignée tisse son fil autour de l'unique lampe d'usine qui trône seul au milieu du néant. Autour de moi s'anime peu à peu une horde de déménageur. On installe des quartiers personnels pour chaque membre de la fratrie. Je veille à ce que leur petite affaire arrive à bon port. Maria coordonne le rangement du bar. Les bagages de Julia trônent au milieu de bêcher jouant des coudes entre les dernières série Uppleva de chez Ikea. Christophe mon fan de moteur 4 coordonne le tri sélectif. Au final c'est un véritable bunker emménagé dans la pure tradition du 21/12/2012. Tous se rappellent ce jour où le drame est arrivé : François Hollande à eu la gastro. Chacun ce mets en ordre de bataille pour le festin et l'arrivé de l'empereur des masque à gaz, le dictateur du respirer avec prothèse. Hélène dernière arrivait en tant que coordinatrice des tâches et prêtresses du linge immaculé s'affaire à déplacer pour la troisième fois les petites affaires de nos brillants apôtres télévores. C'est dans une cérémonie très étudié qu'il sorte avec entrain leurs accessoires favori d'une reproduction fidèle et authentifier du cercueil de Spock (ogive Mark IV de l’USS Enterprise) en entonnant le générique de Chuck. C'est à la fin de cet hommage vibrant de tous ce que le petit écran a pu éveiller en quasi religion que le seigneur noir fit son apparition dans l'entrebâillement du rideau de fer. Une respiration lente et fortement audible envahit le dernier écho restait vide dans l'espace jeu de société où Jean pose les derniers cartes de son château en forme de faucon millenium. La réverbération vient à bout du record mondial de rapidité de construction. Les membres du Guiness book sortent en bon nombre à pas feutré de ce qui va devenir la prison pour chacun de nous un contrat à durée indéterminé. Je finis de plier ma table de camping et m'installe au garde à vous comme chacun de mes compagnons derrières son espace de travail. Le docteur s'avance vers chacun et salue consciencieusement chacun des invités aux festival de l'horreur. Docteur c'est fait une spécialité de sauver le monde en réunissant une A team. Ces réunions d'ami ont fait le succès de son entreprise et furent à l'origine de ses inventions les plus novatrices comme le masque H1N1 pour les porcs. Cette dernière trouvaille ayant mis à la porte le dernier laboratoire Pasteur rebelle. Nous comptant comme à son habitude pour évaluer ces troupes je lis dans son visage une insatisfaction qui me fait frissonner. Je m'empresse de faire quérir les frères Bogdanov. Igor 4 et Griska 4 qui se sont recyclé dans les programmes de fitness après une vingtaine de doctorat à leur actif. Igor m'incendie au téléphone sur l'obtention d'un diplôme supplémentaire par son frère. La paire pourra venir des demain après le succès d'Igor dans l'analyse croiser de la masturbation des étoiles dans un univers bi et tridimensionnel avec une tarte au pomme.

15 août 2013

Jean, Baptiste et François

Convention de Baltimore 6 Mai 2167. C'est au détour d'un stand Klingon que j'assiste au crime le plus terrible qui n'est jamais eu lieu au sein de la plus prestigieuse ligue d'improvisation Klingon. Un participant c'est emmêlé les pinceaux dans son monologue est à lâcher quelques mots d'Elfe de le nuit. « On n'est Klingon ou on ne l'ai pas.» Cette réflexion me sort de mon abattement devant cette faute impardonnable. « Même un seigneur du temps n'aurait plus accès à Galifrey.» Mes neurones de pauvre terrien retrouvent leur souplesse à l'arrivé du troisième larron. « Laissez le tranquille il ne connait que Walnut grove » Je remercie chaudement François par une poignée de main Jaffa. Jean enchaîne avec un discours Klingon qui semble dire : Il a besoin de nous.

15 août 2013

Dimitri

Darty du Petit-Quevilly 1 h 00 pétante. C'est avec fracas que la sortie de secours 5 éjecte non sans dommage un individu dont il ne reste dans les mains que le cordon USB 10 de la dernière chaîne coréenne dont j'ai encore oublié le nom.

C'est une main délicate, mais apte à écraser un caniche royal sans laisser de trace, qui m'accueille en me rappelant ma dernière aventure avec mes petits métacarpes. Mon ami me demande un instant pour se gargariser avec une bouteille de vodka. Au moment d'évoquer l'objet de ma visite, après un entretien sur les risques du métier et un grand discours sur la dernière défaite d'une équipe parisienne, l'envie lui prend soudain d'ouvrir une quatrième bouteille de Vodka. Cette brève interruption me permets de me remémorer le fil de la soirée et notamment les deux tentatives de vol habituel. Je ris encore du deuxième essai d'une équipe d'improvisation local qui a du se faire raccompagné en ambulance. Mon passionner de Smirnoff se faisant gentiment enguirlander par le médecin urgentiste syndicaliste pour qui la visite d'un ministre dans la nuit l'énerve d'autant plus. L'équipe des urgences de nuit ayant une nouvelle fois fait grève contre la surpopulation nocturne de leur service.

Nous reprenons notre échange :

Lui : Il a à boire ?

Moi : En effet.

15 août 2013

Mark

J'active mon application fessebouc pour rameuter le cauchemar du FBI, l'apôtre de Bill, l'enfant caché de Steve, le Mozart d'andro et id, le … (autocensure désolé).

C'est dans un café branché (dans tous les sens du terme) que mon geek geek me twitte son sentiment d'impuissance à craquer pour la énième fois le serveur caché (du dernier serveur lui même caché) du saint des saints FBI une fois n'est pas coutume. Il me retwitte de nouveau pour me faire par de son succès.

Et comme on ne twitte pas toujours de fois il me twitte : i la hancor be zoin de nou ? Je m'empresse de lui répondre de manière hasardeuse : An f hé ?

Quel est pas ma surprise de voir s’enfuir mon acolyte vers l’issue de secours. Un berline plus noir que noir s’étends garer précipitamment à cheval sur le trottoir.

15 août 2013

Julia

Dubaï 17h28 GMT

Mes yeux se penchent sur ce message: rejoignez- moi immédiatement dans le quartier français de Palm Island.

M'ayant muni d'une baguette à la française sous les bras comme signe distinctif, je m'avance prêt du kiosque à journaux. Mes yeux fatigués observent une scène dramatique. Une jeune femme vient de faire tomber le rouge à lèvre qui dépasser de son sac en voulant se saisir d'un exemplaire de international géographique. Se baissant pour ramasser sa fidèle caresse pour lèvre, un détail n'échappe pas à mon regard d'expert. Ce même regard qui ne semble plus vouloir se détacher du dit détail. C'est avec une certaine célérité que je m'exprime: << Julia >>. C'est avec surprise et à la fois avec un soudain plaisir que je ramasse un coup bas direct. Julia est asiatique. S'ensuit un monologue dans la langue des mandarines. Ma seuel formulation qui me vient à l'esprit après ce témoignage élogieux et désolé.

Passant son bras sous mon bras, nous marchons sur la jeter en profitant d'un coucher de soleil. Ma fidèle s'étant recroquevillée gentiment dans mon caleçon de compétition.

S'ensuit une discussion à bâton rompu (c'est le cas de le dire) dont le point final interromps un feu intérieur qui vient à point nommé à l'arriver dans son appartement.

Elle : Il a encore besoin de nous ?

Moi : En effet !

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