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Assis sur la plage ...
16 août 2013

To hide or not to hide

Rentrant au Boukistan, je passe un coup de fil à mon pote Alexander Van Humboldt spécialiste des masques à gaz aphrodisiaque. Je réclame son sentiment par rapport aux derniers événements. Mon pouce se retrouvant sans bout d’ongle à ronger, mon esprit se retrouve en échec. Assis sur le trône du patron, je lui narre nos dernières aventures et lui fait part de mon désarrois à ne pas trouver de lien entre ces cadavres. Je lui demande d’analyser les deux masques que je m’empresse séance tenante d’expédier par drone coursier. Le drôle d’oiseau ayant à peine franchit la porte que mon apôtre des voix respiratoires non-libre m’interrompt dans ma réflexion. Me levant de son fauteuil je regagne mes appartements sans broncher. Phelps m’interpelle et m’ordonne de rapatrier tous les cadavres incriminés. La tâche s’annonçant difficile. Le nombre de macchabé s’élevant désormais à plus de 4000 morts. Çà ne va pas être de la tarte. Transférer autant de Dakarmen sans que la presse s’en aperçoive nécessite une certaine difficulté. Et croyez-en mon expérience la faculté qu’on les journalistes à pister le scoop morbide se révèle aussi facile que de chasser des photos du clone de Justin Bieber dans son bunker. Joué la mélodie en sous-sol çà dure jamais longtemps. La première chose à faire en pareil cas est de déguiser les invités en parfait employé de rayon et de racheter le supermarché au dessus de notre garçonnière (ce qui feront le rapprochement avec une série sont prier d’aller s’occuper de leur Sarah plutôt que de lire se bouquin). Bon ce n’est pas tout çà mais mes yeux, aussi beau que mémé, se ferme et Morphée m’attends patiemment depuis 48 heures. Je surprends Maria, Julia et Hélène en petite tenu se bagarrant dans ma chambre. Je choisi d’aller faire un gros dodo sur la terrasse emménagé sur le toit de mon bungalow. J’y retrouve mes petits canards afférés à filmer le spectacle qui se joue prêt de mon plumard. Pressant le bouton de la trappe d’accès, mes canetons ne manquent pas de tomber sur mon matelas brisant le sommier se prenant au passage une plumée de la part de mes charmantes collaboratrices. Rien de bien méchant me direz-vous si ce n’est que Julia me fait encore des reproches. Je décide de rester sur mon toit. Je passe une bonne nuit seulement réveiller tour à tour par le frôlement de la couverture et les pieds glacés du trio féminin l’une après l’autre. Requinquer je profite d’une matinée calme pour organiser le rapatriement de notre collection de cadavre dans notre espace. Recruter un(e) attaché(e) de presse, des gros bras supplémentaires, des bébés canards, racheter quelques camions de scalpel pour mes maladroits et surtout des biscottes. Et surtout loué les deux niveaux de sous-sol afin de tripler nos capacités en vue de notre réception.

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